La mannequin et animatrice était l'invitée de "Bonjour ! La Matinale TF1" ce mardi.Elle publie "Libre" (éditions Leduc), son autobiographie dans laquelle elle revient sur son enfance et son incroyable parcours.Elle y évoque aussi sa maternité tardive et ce que l'arrivée de sa petite Nina a changé dans sa vie.
Adriana Karembeu se dévoile. La mannequin et animatrice était l'invitée de Bruce Toussaint ce mardi sur le plateau de "Bonjour ! La Matinale TF1". L’ambassadrice de la Croix-Rouge publie Libre (éditions Leduc), son autobiographe dans laquelle elle revient sur son incroyable parcours. Elle y raconte son enfance en Slovaquie, entre une mère nutritionniste qu’elle admire et un père violent qui a n'a jamais cessé de la rabaisser.
"Cette enfance douloureuse m’a conditionnée. Mon père a beaucoup effacé mon âme. Jusqu’à 18 ans, j'ai vécu dans un pays sombre, pas libre. Quand je suis partie, j'ai réalisé à quel point ça change tout de pouvoir vivre dans un pays libre", confie celle qui est devenue mannequin à 20 ans, un peu par accident après avoir été découverte dans la rue par un chercheur de tête.
Un chemin compliqué vers la maternité
Le succès est ensuite arrivé très vite, faisant d'Adriana Karembeu une mannequin star. Elle est même entrée dans le livre Guinness des records en 2011 grâce à ses jambes de 1,26 mètre, soit les plus longues du monde. Mais la chose dont elle est la plus fière, c'est de sa fille Nina, née en 2018 de ses amours avec l'homme d'affaires Aram Ohanian dont elle est désormis séparée. D'autant que son parcours vers la maternité a été très compliqué, la mannequin ayant subi plusieurs fausses couches et FIV qui n'ont pas fonctionné.
Devenue maman à 46 ans, elle élève sa fille comme elle en a envie, sans se soucier des conventions sur la parentalité. Dans son livre, elle raconte notamment qu'elle partage le même lit que Nina, "une tornade de cinq ans et demi". "Beaucoup de choses ont changé depuis la naissance de ma fille", admet l'heureuse maman sur le plateau. "C’est elle qui m’a libérée de toutes mes craintes et mes peurs aussi sur le regard des autres. Avant, j’avais besoin de ce retour des gens pour savoir si je faisais les choses bien ou pas. Je n’ai pas le droit d’être une maman faible, car ma fille a besoin d’une maman forte", conclut celle qui se définit aujourd'hui comme une "maman alpha".